Emblemata temporalia
Les poèmes que Johan van Cauwenberge a écrits pour la série 'In Illo Tempore', ont été publiés plus tard par P. Il m'a demandé d’inverser le mouvement en cette occasion et - en gardant à l'esprit le processus de travail précédent - de refaire des images à partir des mots. Ainsi 31 dessins en technique mixte ont vu le jour pour 31 poèmes. Les dessins que j'ai réalisés pour cette série ont, à leur tour, donné naissance à de nouveaux tableaux et graphiques. En voici une sélection.
Corpus celestis
L'idée que nous nous projetons dans le ciel nocturne, que les constellations représentent notre corps - et en même temps incarnent notre personnalité. Le cycle d'Orion m’a donné cette idée. Nous réussissons à nous déplacer à l’intérieur de ce qui est plus grand que nous.
Humain et paysage
Cette série de gravures et de linos est une contribution au projet Mens-Landschap/ Landschaft-Mensch, (humain-paysage) un recueil illustré de poèmes de 2010, publié par LiterGra asbl. J'ai collaboré avec la poétesse Annmarie Sauer.
Les vierges du paradis
Des gribouillages, des esquisses et des études à connotation érotique, réunis sous un dénominateur commun Coranique. Qui sont-elles donc, les vierges du paradis?
Camera obscura
La chambre noire où la lumière se recueille, des messages du monde extérieur, les tristes nouvelles du jour et la consolation que nous offre la musique.
L'autre monde
Les limites de la langue ne définissent-elles pas aussi les limites de la vérité ? Au-delà, il y a le domaine de l'imperceptible, du fantastique. Tout en fantasmant et en jouant avec les médias créatifs un artiste rend cela visible. Le contenu et le sens ne sont pas toujours faciles à interpréter, certainement pas comme une manière de dire la vérité. D'autre part, des connexions, des associations et des formes émergent et reviennent sans cesse, si bien que l'on peut se demander si elles ne font pas partie de notre conscience spirituelle collective?
Elle - et elle seule
Elle a une très forte présence dans toute mon œuvre. Mais ici elle en est l’essence même. Par sa prestance, son regard, sa sensibilité.